Plusieurs aspects ont été développés par le Chef de l’État, mais chacun analyse l’aspect qui l’intéresse par rapport aux enjeux qui cadrent avec ses intérêts pour faire entendre sa voix.
Dans son camp de la majorité présidentielle, le député national Henri Thomas Lokondo a développé l’aspect relatif au conflit interne qui gangrène le Rassemblement de l’opposition dont le Chef moral de sa famille politique en a fait allusion dans sons discours.
Selon ce député de la MP, la nomination du nouveau Premier ministre ne doit pas être perçue comme un débauchage par le Chef de l’État, un concept en vogue devenu récurent actuellement dans la bouche des uns et des autres.
Dans son discours, Joseph Kabila a annoncé devant le Parlement la nomination dans le 48 heures d’un Premier ministre qui sera issu du Rassemblement de l’opposition, comme le prévoit l’accord du 31 décembre.
L’une de modalité considéré comme pierre d’achoppement entre les parties prenantes aux discussions, à la base de l’échec de la signature définitive des arrangements particuliers au dialogue facilité par la CENCO. Néanmoins, le Rassemblement semble être divisé et Henri Thomas Lokondo, considère « le Rassemblement dirigé par Félix Tshisekedi et ses amis de Limete, comme le vrai Rassemblement de l’opposition au détriment de celui piloté par Joseph Olenghankoy.
Conséquence : « Si le président nomme quelqu’un sans que le Rassemblement de Limete soit très impliqué, ça va s’apparenter à un débauchage », a estimé le député de la majorité présidentielle.
Afin d’éviter ce genre de désagréments après nomination du nouveau premier ministre de la transition, Henri Thomas Lokondo conseille aux franges du Rassemblement à couteau tiré de leadership à se réconcilier.
4 commentaires
voila un sage congolais
Pourquoi se réconcilier. La dissidence n’existe pas au Congo ? on ne traite pas avec les dissidents., sauf à attiser la haine et la division.
Ce bien raisonné que sa soit insi
bjr honarable ,voilà au moins quelqu’un qui raisonne,laissons l’aventure en politique,vous avez l’exemple de Charles Blé Goudé après avoir flatté LAURENT Bagbo aujourd’hui tous à la CPI,pourquoi faisons nous confiance plus aux gens qui flattent