Au cours d’une conférence de presse tenue à Kinshasa, Raymond Tshibanda s’en est pris ouvertement aux Nations unies et à l’opposition s’agissant du respect du délai constitutionnel pour la tenue de la présidentielle.
« On peut débattre des délais constitutionnels six mois, un an, dix ans avant les élections, il n’y a pas de problème, mais continuer à en appeler à cela à six mois, à sept mois de l’échéance alors que vous savez qu’objectivement il devient difficile de les faire dans ce délai, je pense que cela frise l’irresponsabilité »