La Coordination de CSSPEVK, à travers sa cellule de communication, a dénoncé, ce jeudi 25 juillet, une vaste campagne de désinformation visant à saboter le Projet d’Extension de la Ville de Kinshasa dénommé «Kia Mona» qui est une réalité et un projet qui tient à cœur le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi en cette année 2024.
Le CSSPEVK regrette la publication des rumeurs distillées sur les réseaux sociaux selon lesquelles il y a «une grande inquiétude sur la déstination de 8 millions USD déboursés par le Trésor Public pour la construction de Kitoko Ville», confondant avec le projet «Kia Mona».
Selon les informations rapportées par la cellule de communication, ces personnes mal intentionnées qui, durant cinq ans, ont clamé que le Chef de l’État n’avait pas tenu des promesses, cherchent désormais à miner un projet porteur d’espoir pour tout un peuple, alors que le Président Félix Tshisekedi concrétise les engagements inscrits dans son plan quinquennal.
Le CSSPEVK accuse ces personnes non identifiées, cachées derrière un média de la place, qui attaquent le projet d’extension de la ville de Kinshasa, de freiner plusieurs aspects du développement du pays.
«Elles s’opposent indirectement à la création de dizaines de milliers d’emplois qui devraient être générés prochainement, non seulement pour les Kinois mais aussi pour l’ensemble des Congolais. Elles vantent le développement d’autres pays tout en jetant l’anathème sur le projet de développement de leur propre pays, la République Démocratique du Congo», déclare la cellule de communication.
Pour dissiper tout malentendu, la Coordination de CSSPEVK, à travers sa cellule de communication, a fait savoir que contrairement aux contre-vérités publiées dans un média de la place créant une confusion entre l’ancien projet Kitoko City et la Coordination, qui est un organe de gouvernance qui pilote le projet d’extension de la ville de Kinshasa, créé par le décret 23/35.
«Le CSSPEVK a clairement défini le rôle de ses animateurs, en place depuis janvier dernier, et a établi le mode de fonctionnement de sa structure, démontrant ainsi que le média qui a publié des contre-vérités n’a aucune raison de prétendre à une erreur mettant en mal la réaction (Droit de réponse) de CSSPEVK. Accuser un détournement relève soit de l’ignorance, soit de la mauvaise foi, soit d’une méconnaissance du fonctionnement de l’État congolais. En République Démocratique du Congo, il est impossible d’accuser des tierces d’un détournement au nom d’une structure sans que celle-ci n’en soit informée, telle est la procédure», regrette la cellule de communication.
Et de poursuivre: «il est important de noter que CSSPEVK s’inscrit dans le respect de la Res Publica, et c’est pourquoi cette structure ne peut publier sur les réseaux sociaux ou les médias des déclarations concernant le décaissement de fonds publics. Il existe des canaux officiels pour cela. Par contre il est clairement établi et confirmé qu’aucun décaissement, en franc ou en dollar, n’a été effectué au nom du CSSPEVK depuis son installation en janvier 2024. Faire une déclaration aussi hasardeuse en rapport avec la nature du projet, pleine d’ignorance, sans maîtriser les tenants et les aboutissants du projet d’extension de la ville de Kinshasa, est une erreur grave qui ne fait que combattre le développement du pays».
La Coordination de CSSPEVK constate malheureusement que ces personnes malintentionnées qui utilisent un média de la place, ont décidé d’attaquer l’État congolais, de freiner son développement, de servir des intérêts personnels, et de s’engager dans «une guerre politicienne sans issue, car leurs informations sont totalement fausses».
«Le professionnalisme aurait exigé qu’ils se réfèrent aux ministères et services attitrés si un tel décaissement aurait été validé et effectué. Il est important de souligner que CSSPEVK (étant constitué du comité de pilotage, d’une coordination permanente et d’un organe des experts de l’Etat congolais) n’est concerné ni de près ni de loin par un quelconque décaissement de 8 millions de dollars ou par un détournement», a conclu la cellule de communication du CSSPEVK.