Alors qu’une vingtaine de militants de ce mouvement citoyen pro-démocratie était en plein travaux pour évacuer les immondices et des ordures qui bouchent les canalisations, d’autres se mettaient à donner de coups de balai à la célèbre place des artistes, des éléments de la police ont surgi demandant aux jeunes militants d’arrêter tout travail car il incombe à un service Étatique. S’en est suivi une discussion entre les deux parties.
Les militants de la LUCHA Le sont décidés d’aller voir le bourgmestre de la commune de Kalamu en vue de lui faire part de cet interdiction.
Malheureusement, l’autorité municipale n’a pas été retrouvé sur les lieux.
« Au lieu de perdre le temps en attente du bourgmestre, nous sommes rentrés au Rond-point Victoire pour poursuivre ces travaux d’intérêt public. À notre arrivée, la police avait déjà déployé des éléments, qui nous ont dispersé avec des gaz lacrymogènes » témoigne Godefroid Mwanabwato Kahambo, membre de la LUCHA.
Militant de ce mouvement citoyen, récemment sorti de la prison lors de libération de prisonniers politiques en vue de la décrispation de la crise politique avant le début du dialogue précise qu’un militant de ce mouvement a été blessé lors de l’usage de la force par la police pour dispersé ces jeunes, qui n’ont commis aucune infraction, mais qui servaient la nation.
Le point sur la situation avec Godefroid Mwanabwato Kahambo, joint au téléphone de POLITICO.CD par Fiston Mahamba
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Un commentaire
Mawa, mawa, Mobutu nous a laissé aussi des bonnes initiatives, Les enfants on mis en pratique le salongo au lieux de cinq chantiers qui n’est qu’un slogan. Vive la LUCHA, tenez bon vous vaincrez.