e dernière passage du ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya en Egypte continue à produire des effets concrets et positifs pour la RDC.
Les responsables de l’entreprise égyptienne PGESCO sont déjà à Kinshasa, la capitale congolaise pour lancer les études de faisabilité de la construction d’une centrale solaire et d’un port dans la province du Kasai-oriental.
Accompagnés des experts du Fonds de Promotion de l’Industrie-FPI, ces investisseurs égyptiens vont se rendre dès ce mercredi 26 février à Mbuji-Mayi pour les études du terrain où ils vont installer la centrale solaire, mais aussi la construction de la centrale de Kibasa et la modernisation du port de Ndomba sont concernés.
Ces investisseurs se rendront également dans le Haut-Katanga et dans le Lualaba où ils comptent créer deux zones économiques speciales pilotes.
Les responsables de cette entreprise égyptienne accompagnés du DG du FPI, et Patrice Kitebi du FPI ont échangé ce lundi avec le Ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya qui a manifesté sa réjouissance puisque ces égyptiens ont tenu parole de venir investir en RDC.
Merveilles Kiro
2 commentaires
Je veux que le gouvernement puisse réaliser se priver!!
A quand la responsabilisation des cadres congolais? Chaque année les universités et instituts supérieurs congolais forment les ingénieurs dans tous les domaines, mais pour construire un pont d’une dizaine de mètres de long, un tronçon de route, ou une canalisation d’évacuation d’eaux pluviales, c’est presque toujours aux étrangers que ces travaux sont confiés !!!! Raison avancée: manque de financement !!!! Inutile alors de former des cadres au Congo parce qu’ils ne seront jamais utilisés pour servir leur pays !!!!! Même les pays africains viennent construire au Congo ! Quand un congolais invente, il n’est soutenu par aucun ministère sous prétexte qu’il manque de financement ! Dans ces conditions, ne rêvez jamais du développement de ce pays là.