Il s’agit d’une décision difficile mais qui, en raison de l’insuffisance des garanties juridiques et éthiques entourant l’adoption dans ce pays, a été jugée impérative.
Tout en prenant en compte les attentes légitimes des familles adoptantes, la France doit en priorité veiller au respect de l’intérêt supérieur des enfants concernés et de ses obligations internationales découlant de la convention de La Haye.
Les autorités congolaises et les opérateurs agréés en matière d’adoption ont été informés de cette décision.
Les familles qui ne l’ont pas encore fait peuvent déposer d’ici le 31 décembre 2016 les demandes de visa d’adoption auprès de l’ambassade de France à Kinshasa, qui se tient à leur disposition.