Dans cette lettre, Jean-Marie Runiga, qui est désormais à la tête du parti de l’Alliance pour le salut du Peuple (ASP), demande « au nom de l’inclusivité » que le rapatriement des anciens rebelles du Mouvement du 23 Mars soit intégré dans l’accord signé le 31 décembre dernier, présentant une liste des concernés.
La toute dernière rébellion tutsi soutenues par le Rwanda et l’Ouganda dans l’est de la RDC depuis la fin de la deuxième guerre du Congo (1998-2003), le M23 a été défait en novembre 2013 après 18 mois de guerre au Nord-Kivu. Le mouvement a confirmé en décembre 2013 son renoncement à la rébellion lors de la signature des déclarations de Nairobi par lesquelles le gouvernement de Kinshasa et le M23 ont formellement enterré la hache de guerre.
Pour autant, les combattants de ce mouvement restent toujours cantonnés dans des camps militaires au Rwanda et en Ouganda, sans être rapatriés en RDC tel que l’exigeait les accords .
#RDC #Cenco : l'ASP et l'ex-M23 remettent un memo et une liste d'ex-combattants non amnistiés aux bons soins des Evêques pic.twitter.com/6ssgs5Vn7D
— Sonia Rolley (@soniarolley) January 5, 2017
Un commentaire
Ils sont très bien la ou ils sont ils peuvent demander leurs naturalisation dans ses pays là ceux sont de semeurs de trouble on m enveux pas en RDC