« Sans base légale, dit le parti de l’opposition, le Gouvernement provincial de la capitale a conditionné toute activité politique à son autorisation, laquelle n’est accordée qu’aux formations politiques proches de la majorité« , accuse l’ l’Union nationale des fédéralistes du Congo (UNAFEC – Kinshasa)
« En conséquence, aucun propriétaire de salle n’oserait plus servir un parti de l’opposition, précisent les membres de l’Unafec/Kinshasa« , ajoute-t-il.
Dans la foulée, tout en dénonçant ce comportement « anti démocratique et la réduction continuelle de l’espace politique congolais« , les opposants attirent l’attention de l’opinion publique et de sur « la duplicité du pouvoir qui parle des élections tout en posant chaque jour des actes qui les rendront impossibles. »
Par ailleurs, ce communiqué de presse accuse également la CENI de vouloir réduire le nombre d’électeurs de la ville de Kinshasa au profit des autres provinces.