La guerre silencieuse entre la Banque Centrale du Congo et la Banque Internationale pour l’Afrique au Congo (BIAC) fait rage. Le 04 novembre dernier, les actionnaires de cette banque commerciale ont annoncé sa dissolution « dans le but de rembourser leurs clients« . « La décision de dissolution a été prise par les actionnaires défaillants sans le concours de L’Administrateur Provisoire, ni de l’Autorité de Régulation et de Contrôle Bancaire qui ont à leur charge la responsabilité du redressement de la BIAC« , a répliqué la BCC dans un communiqué. « La BIAC est déjà dissoute », a rétorqué Mt. Pierre Okendembo, l’avocat des actionnaires de la BIAC. Pour lui, la BCC n’a « aucun droit de s’opposer à cette liquidation décidée légalement par des actionnaires« .
Cette guerre se poursuit désormais à travers les médias. En effet, le Gouverneur qui est intervenu à la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC) et sur Télé 50, entre autres, pour expliquer son opposition à cette dissolution, aurait été suffisamment ‘’reconnaissant’’ pour inspirer une censure contre les responsables de la BIAC.
Et d’après des informations à notre possession, la Banque Centrale du Congo serait à la base d’une censure organisée sur les médias congolais privés, ainsi que sur la télévision nationale publique, la RTNC. Il semble que la BCC ne veuille pas laisser des voix discordantes à celles qui donnent sa position sur l’affaire BIAC passer et s’adresser au public.
« Après son émission, le Gouverneur Mutombo s’est entretenu avec le patron, après, il nous a été interdit de diffuser tout message venant de la BIAC« , témoigne une source travaillant dans une chaîne de télévision privée à Politico.cd.
« Nous avons reçu un ordre strict de ne pas passer le communiqué de la BIAC« , explique une autre une source de la RTNC, qui a requis l’anonymat.
La Banque internationale pour l’Afrique au Congo (Biac), contrôlée par le groupe Elwyn Blattner, a annoncé mardi dans un communiqué sa liquidation volontaire, une décision que dément la Banque Centrale du Congo qui gère cette banque depuis sa mise sous tutelle au début de cette année. La BIAC avait été placée sous administration provisoire le 30 mai dernier, en raison d’une grave crise de liquidité dont les causes restent délicates à déterminer, entre la sous-capitalisation chronique de la banque et la décision de la Banque centrale de stopper une ligne de financement.
Le retrait plafonné à 500 000 francs Congolais (environ 500 dollars) et la fermeture des agences pour faire face au manque de liquidités début avril ont conduit à un changement du management de la banque et de ses organes de direction. A ce jour, les épargnants n’ont toujours pas accès à leurs fonds, créant d’une situation d’angoisse dans les pays.
Dans ces messages censurés, cette banque commerciale, la quatrième du pays, expliquait à ces clients le bien fondé de cette dissolution, leur permettant finalement d’accéder à leur finances, grâce à la liquidation qui devrait intervenir, à laquelle s’oppose farouchement le gouverneur Mutombo.
Le gouverneur Déogratias Mutombo n’a pas répondu aux appels de Politico.cd. Un communiqué de son chargé de communication ne devrait certainement pas tarder.
2 commentaires
VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE… IL N Y A PAS DE DÉMOCRATIE SOUS UNE OCCUPATION TUTSI POWER EN RDC (RÉPUBLIQUE DÉMOCRATURE DU CONGO)… VIVE LA REVOLUTION QUI EST LA LÉGITIME DÉFENSE PAR LE PEUPLE KONGO SOUVERAIN PRIMAIRE DONT ÉMANE LE POUVOIR SUPRÊME. ABAT LE DIALOGUE INCLUSIF ENTRE L’OPPOSITION OFFICIELLE ET NON-OFFICIELLE KONGOLAISES (L’UDPS AILE FAMILIALE, LE G7, LE RASSEMBLEMENT DE GENVAL, TOUTES LES PLATEFORMES POLITIQUES…) ET LE GOUVERNEMENT SANGUINAIRE DU TUTSI POWER… ABAT LE GLISSEMENT ET LE TROISIÈME MANDAT. ABAT LA TRANSITION INTERNATIONALE DE 18 MOIS. ABAT LE VIDE JURIDIQUE APRES LE 19 DÉCEMBRE 2016. ABAT LES ELECTIONS SOUS OCCUPATION, SOUS INFILTRATION ÉTRANGÈRE AVEC UN FICHIER ÉLECTORAL CORROMPU SANS LE RECENSEMENT DE LA POPULATION AFIN DE CHASSER ET DÉRACINER TOUT LE SYSTÈME IMPÉRIALISTE ET LEUR PROXY LA NÉBULEUSE TUTSI POWER COMPOSÉS DES COMMANDITAIRES (Les Décideurs de la Communauté Internationale : USA, CHINE, ROYAUME-UNI, CANADA, UNION EUROPÉENNE, O.N.U…), DES SOUS-TRAITANTS (Rwanda, Burundi, Ouganda, Angola et Afrique du Sud) ET DES EXÉCUTANTS (Faux acteurs politiques égoïstes traîtres occultistes larbins corrompus jusqu’à la moelle épinière de la majorité et de l’opposition accompagnateurs du système IMPÉRIALISTE néocolonialiste, experts en manœuvres politiques dilatoires)… LES ÉTRANGERS NE DIRIGERONT PLUS LE KONGO (Deutéronome 17 : 15 « Vous établirez alors sur vous le roi que l’Éternel votre Véritable Dieu aura choisi ; c’est l’un de vos compatriotes que vous prendrez pour régner sur vous ; vous ne pourrez pas choisir un étranger pour roi » ou « Tu mettras sur toi un roi que choisira l’Éternel, ton Véritable Dieu, tu prendras un roi du milieu de tes frères, tu ne pourras pas te donner un étranger, qui ne soit pas ton frère »). ACTUELLEMENT AU KONGO NOUS AVONS D’UN CÔTÉ LES NATIONALISTES PATRIOTES VÉRITABLES KONGOLAIS ET DE L’AUTRE CÔTE LES OCCUPANTS INFILTRÉS DU TUTSI POWER AVEC LEURS ESCLAVES COLLABOS KONGOLAIS ADEPTES DE LA MANGEOIRE. POINT BARRE… VIVEMENT UN PRÉSIDENT VÉRITABLE KONGOLAIS DE SOUCHE PUR SANG A LA TÈTE DE NOTRE BEAU PAYS… KANAMBE ALIAS JOSEPH KABILA LE CHEVAL DE TROIE DU RWANDA DÉGAGE. MOSES SORIANO ALIAS MOÏSE KATUMBI DÉGAGE. VITAL KAMERHE RWAKANYASIGIZE ALIAS LWA KANYIGINI NKINGI DÉGAGE. LEON LOBITCH KENGO WA DONDO DÉGAGE. AZARIAS RUBERWA DÉGAGE… DEPUIS 1997 LA LIBÉRATION FACTICE DE L’AFDL A DÉJÀ FAIT PLUS DE 12 MILLIONS DES VICTIMES VÉRITABLES KONGOLAIS DE SOUCHE PURS SANG.. (Ézéchiel 21 : 31 « Voici ce que j’annonce, moi, le Seigneur VÉRITABLE DIEU NZAMBE TATA : On t’enlèvera ton turban, on ôtera ta couronne. Les choses vont changer ! Les gens simples seront élevés, et les gens importants seront abaissés »). VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. VIVE LA RÉVOLUTION POUR LE CHANGEMENT RADICAL DE MENTALITÉ. LE FANATISME AVEUGLE EST UNE FORME D’ESCLAVAGISME MENTAL. INGETA
Raciste et racisme n’est pas une identité de congolais de sang. Désolation.