Le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a reçu en audience Musalia W Mudavadi, Premier secrétaire du Cabinet et Secrétaire du Cabinet chargé des Affaires étrangères et de…
Auteur/autrice : La Rédaction
Kinshasa a proposé à Bruxelles la mise en place d’un Comité d’experts pour améliorer la traçabilité des minerais critiques et stratégiques, visant à renforcer la transparence…
Les réactions se multiplient après les déclarations du président Félix Tshisekedi concernant la révision constitutionnelle. Ce débat suscite des réflexions profondes au sein de la société congolaise.
Dans un Congo en quête désespérée de renouveau, l’attente d’une révolution politique s’impose comme une nécessité vitale. Pourtant, malgré l’urgence criante de mettre fin à l’enrichissement illicite et à la mauvaise gestion des ressources par les hauts placés, le président Félix Tshisekedi, surnommé FATSHI, semble hésiter à prendre les mesures radicales attendues. Cet éditorial de Litsani Choukran explore pourquoi, malgré les précédents établis par ses prédécesseurs et les attentes massives de sa base, FATSHI ne lance toujours pas le changement crucial dont le Congo a désespérément besoin.
Un rapport du Centre de Recherche en Finances Publiques et Développement Local (CREFDL) lève le voile sur des scandales financiers au sein du Parlement congolais, mettant en cause les présidents de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso, et du Sénat, Modeste Bahati. Fraudes, détournements et dépassements budgétaires massifs entachent la gestion des deux chambres, plongeant le pays dans une crise institutionnelle.
Un rapport de « contrôle citoyen » publié par le Centre de Recherche en Finances Publiques et Développement Local (CREFDL) révèle de graves actes de mauvaise gestion et des soupçons de détournement à l’Assemblée nationale congolaise. Christophe Mboso, président de l’Assemblée nationale, est pointé du doigt comme responsable de ces irrégularités, impliquant des dépenses douteuses dans l’acquisition de véhicules et la construction de bâtiments. Parallèlement, il est accusé d’orchestrer un blocage politique pour empêcher l’élection du bureau permanent, bloquant ainsi la mise en place du gouvernement.
Vidiye Tshimanga, candidat indépendant à l’élection du gouverneur de Kinshasa, accuse Augustin Kabuya, secrétaire général de l’UDPS, d’être impliqué dans un vaste système de corruption visant à favoriser Daniel Bumba Lubaki lors du scrutin du 29 avril 2024. Dans une requête adressée à la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe, il dénonce la distribution de véhicules aux députés provinciaux et demande l’annulation des résultats provisoires publiés par la CENI.
Alors que le M23 présentait sa rébellion comme une lutte contre la marginalisation et pour la bonne gouvernance, la prise de la cité minière de Rubaya…
Le blocage institutionnel persiste en RDC après la réélection du président Tshisekedi, en raison d’une lutte acharnée pour la présidence de l’Assemblée nationale entre Vital Kamerhe, candidat de la coalition au pouvoir, et ses rivaux Augustin Kabuya et Christophe Mboso. Les manœuvres politiques et les alliances secrètes retardent la formation du gouvernement, plongeant le pays dans une impasse préoccupante.
Après une pause de quatre mois suite aux élections de décembre dernier, Litsani Choukran fait son grand retour dans « Le Fondé », avec un épisode chargé en…