Auteur/autrice : Rédaction Kinshasa

« Il n’y a pas du nouveau sous le soleil », dit-on.  » Aux gros maux, des grands remèdes », dit un autre dicton. La crise généralisée en République démocratique du Congo (RDC) semble être, aux yeux des observateurs avertis, une équation à plusieurs inconnus. Et pour la résoudre, toutes les vioes sont possibles, pourvu qu’on parvienne à une solution qui peut apaiser les esprits des uns et des autres et parconséquent, éviter le chaos tant qu’on en a encore la possibilité. 

Après un long silence, le Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement (Rassop), une plateforme politique créé à Genval (Belgique) par le feu Étienne Tshisekedi bien connue sous le nom de Rassop/Limete a, au cours d’une déclaration faite ce mercredi à Kinshasa, dévoilé ses cinq préalables qui constituent pour ce regroupement politique, ses conditions avant toute participation aux élections en République démocratique du Congo (RDC).

Le go pour des actions de haute envergure a été donné, mercredi 18 juillet 2018,, au cours d’une cérémonie de signature de la Charte du Collectif d’Actions de la Société civile (CASC), organisée au Centre d’étude pour la promotion d’actions sociales (CEPAS) de Kinshasa  en vue du rétablissement d’un Etat de droit en République démocratique du Congo (RDC).

C’est l’une des résolutions de la conférence débat sur le rôle de la Société civile dans l’édification de la démocratie en RDC, analysé dans le livre de maître Hubert Tshiswaka, jeudi 12 juillet 2014, à l’Institut français de Lubumbashi (Haut-Katanga), une province du Sud-Est de la République démocratique du Congo (RDC). Initiée par l’Institut de recherche en Droits Humains (IRDH), cette rencontre a réuni des animateurs d’ONG, des professeurs d’universités, journalistes et autres intellectuels, en vue de réfléchir sur la situation actuelle de ce pays au cœur de l’Afrique. 

Sur les 63 sénateurs inscrits au vote, 61 ont voté pour, un contre et un autre s’est abstenu. La proposition de loi portant statut des anciens chefs d’Etat élus en République démocratique du Congo (RDC) a été donc adoptée précédemment à la Chambre haute du Parlement congolais, avant d’être renvoyée à l’Assemblée nationale examen et deuxième lecture.