Auteur/autrice : Rédaction Kinshasa

Pour Rostin Manketa, Directeur exécutif de la Voix des sans voix pour les droits de l’homme (VSV), la nomination du général John Numbi Banza Tambo au poste d’inspecteur des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), revient à promouvoir l’impunité et constitue une menace pour les défenseurs des droits de l’homme.

L’Ambassadeur de la France en République démocratique du Congo (RDC), Alain Remy, réclame vivement le renouement des relations entre Kinshasa et Paris. Il l’a dit le samedi 14 juillet 2018 dans sa résidence à Kinshasa, en marge En marge de la fête nationale française, célébrée le 14 juillet de chaque année.

Sous l’égide de l’Institut pour la démocratie, la gouvernance, la paix et le développement en Afrique (IDGPA) et l’Association pour l’accès à la justice (ACAJ); les professeurs d’universités; avocats et chercheurs se sont opposés au troisième mandat du président congolais, Joseph Kabila par le lancement, samedi 14 juillet 2018 à Kinshasa, du Manifeste des Universitaires .

Dans un communiqué publié sur son site internet, Amnesty international déplore la situation des droits de l’homme en République démocratique du Congo (RDC) qui, selon cette Ong de défense des droits de l’homme, est marquée  par des violations persistantes des droits humains caractérisées par « la restriction de la liberté d’expression et d’association » pendant que le pays se prépare pour les élections.

« Nous voulons inspirer à habiliter et à connecter ce groupe panafricain des dirigeants qui font preuve d’un tel potentiel de changer notre avenir commun pour le mieux. Nous sommes impatients d’entendre leurs idées et de les soutenir à l’échelle de leur travail et à atteindre », a déclaré Bernadette Meehan, directeur international de la Fondation Obama.

La Haute Cour Militaire(HCM) siégeant en matière de Révision dans l’affaire opposant le colonel Raymond Omba Pêne Djunga à l’auditeur général des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) dans le dossier de « coup d’Etat monté et manqué de 1975 » auditionnera, le vendredi 13 juillet 2018, le ministre d’Etat, Lisanga Bonganga comme renselgnant en sa qualité d’ancien membre de la grande Commission des assassinats et violation de droits de l’homme de la Conférence nationale souveraine (CNS), sur les déclarations du général Singa et du Lieutenant Kabamba sur cette affaire.