Auteur/autrice : Rédaction Kinshasa

Ces projets, financés à hauteur de 3 millions USD, sont répartis entre trois agences des Nations Unies présente en République démocratique du Congo (RDC). A savoir : 1.300.000 USD pour l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS); 1.000.000 USD pour l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) et 700.000 USD pour le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF).

Réagissant à la décision du gouverneur de la ville de Kinshasa, relative à l’intégration de la taxe d’assainissement dans la facture de la Régie de distribution d’eau potable (Regideso), Christian Moleka, Coordonnateur de la Dynamique des Politologues (Dypol) de la République démocratique du Congo (RDC) demande à l’Hôtel de ville « faire preuve de transparence » quant à la gestion de cette taxe.

Le Mouvement de libération du Congo(Mlc), un des grands partis de l’Opposition en République démocratique du Congo (RDC) tient son congrès, ce jeudi 12 juillet 2018 au centre catholique Nganda, situé dans la commune de Kintambo, à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC). L’objectif principal étant la d’aligner des candidats aux élections provinciales, législatives et présidentielle.

Ce sera au cours de la présentation de son ouvrage intitulé : « Société civile et édification de la démocratie en RDC » de Me Hubert Tshiswaka Masoka, Directeur général de l’Institut de recherche en Droits Humains (IRDH), une Organisation de la Société Civile basée à Lubumbashi, Chef-lieu de la province du Haut-Katanga. Le jeudi 12 juillet 2018, de 16 à 18 heures, les animateurs citoyens vont, après réflexion, constituer des réseaux de sensibilisation, groupes de pression et d’échange d’informations.

Il a donné ces précisions à l’issue de la rencontre avec le Président de la Commission Electorale nationale indépendante (CENI), vendredi 7 juillet 2018 à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC). Martin Fayulu, candidat Président de la république désigné par la Dynamique de l’Opposition estime qu’en cas de non tenue d’élection à la date du 23 décembre 2018, il faudra basculer vers une transition sans Kabila.

Après l’étape de dépôt des candidatures aux provinciales, des équipes de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) devront incéssament descendre sur le terrain pour évaluer le processus électoral en République démocratique du Congo (RDC). Mais seulement, il a été constaté, tout au long de ces 15 jours de réception et traitement des candidatures aux provinciales, une faible affluence aussi bien des partis de la Majorité au pouvoir que ceux de l’Opposition. Si bien que la Céni s’est vue, malgré son intransigeance de départ, obligé de concéder une prorogation de deux jours, soit jusqu’à ce mardi 10 juillet 2018, pour permettre aux retardataires de se rattraper.