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Au cœur des turbulences internes du parti Ensemble pour la République, la récente démission de Francis Kalombo de son poste de coordonnateur à Kinshasa soulève des questions sur la cohésion et la direction du parti dirigé par Moïse Katumbi. Entre accusations de tribalisme et frustrations internes, cette crise met en lumière les défis de leadership et les tensions qui fragilisent le principal parti d’opposition en RDC.

La République Démocratique du Congo (RDC) se trouve à un carrefour diplomatique critique, jonglant avec les intérêts de puissances mondiales antagonistes. Récemment, l’ouverture de l’ambassade d’Ukraine à Kinshasa et la réception de Maksym Subkh, Représentant spécial de l’Ukraine, par Christophe Lutundula, vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères et Francophonie,…

Les forces de la Mission de la Communauté de développement de l’Afrique australe en République démocratique du Congo (SAMIDRC) se préparent à lancer des opérations offensives conjointes contre les rebelles du M23, en coordination avec les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC). Cette décision intervient après une…

Un rapport du Centre de Recherche en Finances Publiques et Développement Local (CREFDL) lève le voile sur des scandales financiers au sein du Parlement congolais, mettant en cause les présidents de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso, et du Sénat, Modeste Bahati. Fraudes, détournements et dépassements budgétaires massifs entachent la gestion des deux chambres, plongeant le pays dans une crise institutionnelle.

Un rapport de « contrôle citoyen » publié par le Centre de Recherche en Finances Publiques et Développement Local (CREFDL) révèle de graves actes de mauvaise gestion et des soupçons de détournement à l’Assemblée nationale congolaise. Christophe Mboso, président de l’Assemblée nationale, est pointé du doigt comme responsable de ces irrégularités, impliquant des dépenses douteuses dans l’acquisition de véhicules et la construction de bâtiments. Parallèlement, il est accusé d’orchestrer un blocage politique pour empêcher l’élection du bureau permanent, bloquant ainsi la mise en place du gouvernement.

Le blocage institutionnel persiste en RDC après la réélection du président Tshisekedi, en raison d’une lutte acharnée pour la présidence de l’Assemblée nationale entre Vital Kamerhe, candidat de la coalition au pouvoir, et ses rivaux Augustin Kabuya et Christophe Mboso. Les manœuvres politiques et les alliances secrètes retardent la formation du gouvernement, plongeant le pays dans une impasse préoccupante.